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L’entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée ( EURL ) : elle comprend un associé unique dont la responsabilité est limité aux apport de capital exception faite de la responsabilité civile et pénale en cas de faute de gestion. Le montant du capital est libre, 20% des fonds doivent être versés à la création de la société et le solde dans les cinq années. La société à responsabilité restreinte ( SARL ) : elle inclus de deux à cent associés. Comme pour l’EURL, la responsabilité est limité aux doses de capital. Il n’y a pas de capital minimum requis mais 20% des fonds doivent être versés à la création de l’entreprise et le solde dans les cinq années. En cas de faillite, le capital investi n’est pas dédommagé. La société par actions simplifiée ( unipersonnelle ) ( SAS ou SASU ) : elle peut avoir de un à plusieurs associés, sans limitation, et il n’y a pas de capital minimum ( le montant est libre ). La responsabilité est limité aux apports de capital. Depuis 2009, les apports en industrie jusque là interdits sont autorisés, mais doivent faire l’objet d’une évaluation périodique. La société en nom collectif ( SNC ) : elle est constituée d’associés ayant le statut de commerçant. Aucun capital minimum n’est imposé, mais tous les associés sont solidairement responsables des dettes de la société.
votre entreprise individuelle est très souple de fonctionnement : pas de capital, pas d’associés, pas de statuts, et pas de responsable. La gestion administrative est accessible à tous : en fin d’exercice, les bénéfices devront simplement être reportés dans la déclaration d’impôt sur le revenu de l’entrepreneur. une équipe de prestation à la personne porte officiellement le nom patronymique de son créateur mais il est possible d’y adjoindre un vrai nom commercial. Par exemple : Entreprise Pierre Martin, TouservicesSauf si le créateur opte pour la création d’une EIRL de services à la personnes, son patrimoine professionnel et son patrimoine personnel sont juridiquement confondus. Il est ainsi responsable des crédits de son entreprise sur la totalité de ses biens, y compris sur ceux acquis avec son conjoint, en cas de mariage sans contrat. La réalisation d’une société est plus contraignante que la création de toutes entreprises car l’auteur doit rédiger des statuts et réaliser un minimum d’apports pour permettre à la société de faire face à ses premiers investissements et à ses premières dépenses ( capital social ). Le président de l’entreprise doit respecter beaucoup formalisme lorsqu’il doit prendre des décisions importantes ( convocation de l’assemblée générale, établissement d’un procès-verbal… ). Également, il doit régulièrement rendre des comptes à ses coassociés sur sa gestion.
vous êtes seul, avez-vous un apport financier suffisant pour démarrer votre activité ? Si oui, souhaitez-vous trouver des associés pour accroitre votre entreprise ? Si la réponse est évidemment oui, prenez le temps de différencier votre patrimoine personnel de votre patrimoine professionnel. Votre choix le plus logique est : un statut de société. Le régime fiscal peut se décider entre : EURL/SARL/SASU/SASChaque statut présente des avantages, mais aussi des inconvénients. Votre choix va donc dépendre de vos besoins et de vos objectifs en à propos de développement de sociétés. Les statuts juridiques ne sont pas à sélectionner au hasard. Leur impact a son importance sur votre fonctionnement et vos obligations légales. Le statut EI microentreprise ne nécessite pas légalement l’intervention d’un expert-comptable, par exemple. Même si son expertise est vivement recommandée pour vous aider à entrer dans votre rôle de chef d’entreprise, mais aussi pour vous guider vers la meilleure solution d’évolution pour votre entreprise. Plus facile à réaliser, plus souple à contrôler, l’enseigne suscite souvent, surtout quand les entrepreneurs démarrent sans associés. Beaucoup sont aussi tentés par le statut du micro-entrepreneur ( anciennement auto-entrepreneur ), qui est une entreprise individuelle pour laquelle le paiement des cotisations sociales et de l’impôt est facilité. Mais ces statuts sont aussi les plus risqués pour le président car les patrimoines professionnels et personnels y sont confondus.
La phase de réalisation de la structure dure en global moins de deux ans. C’est une étape itérative qui connaît le développement du produit, le choix du marché et le positionnement. Vient ensuite l’étape d’amorçage, avec les premières ventes en mode “test”. Elle est activé pendant un et deux ans. une fois l’amorçage achevé, intervient la phase de développement, qui représente l’étape charnière de la vie de la société. L’enjeu est impressionnante. Selon une étude de l’INSEE, 4 entreprises sur 10 créées en 2010 avaient déjà déposé le bilan : présentation. La probabilité de défaillance annuelle reste ainsi au plus haut entre 2 et 5 ans de la vie de l’entreprise. Une étude Raise a sondé 507 patrons de sociétés françaises vis-à-vis des freins au développement. Au-delà des effets de conjoncture, les décideurs français évoquent la gestion des ressources humaines ( 28% ), le financement de la croissance ( 13% ) et le position stratégique sur le marché ( 12% ) … un triptyque sur lequel ACTIS est en mesure se répercuter pour amplifier votre croissance.
Vous pouvez également répartir les tâches selon votre capacité de concentration et de votre personnalité : certains voudront mettre toutes les tâches moins distrayantes en même temps, d’autres préféreront distiller celles-ci tout au long de la semaine pour que ce soit moins lourd à réaliser, d’autres encore opteront pour de faire les tâches demandant de la concentration au commencement de la journée et iront à leurs rendez-vous l’après-midi. Cette organisation doit tenir compte de vos idées et de la façon dont vous travaillez. apprenez à vous connaître pour vous mettre en place au mieux. Il est bon à savoir de plus que de nombreux outils existent pour vous permettre de mettre en place votre travail et vos journées tout en vous faisant gagner du temps comme, par exemple, Trello pour suivre vos projets, Mailchimp pour automatiser vos envois de mails, Buffer pour automatiser vos social medias, ou encore Google Drive pour excercer de façon collaborative sur des documents. L’interdiction de assurer fait partie des sanctions personnelles qu’un tribunal de commerce peut prononcer à l’encontre d’un dirigeant d’entreprise suite à l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire ou de liquidation judiciaire. Elle peut être décidée seule ou découler de la sanction de faillite personnelle. Dans les deux cas, elle interdit à l’entrepreneur de assurer, administrer ou contrôler toute entreprise, de façon directe ou indirecte.
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